• Délivre-moi de cette douleur
    Ainsi que de cette insupportable peur.
    Je ne veux plus vivre
    Pour seulement souffrir.

    Délivre-moi de ce monde si cruel
    Qui ne demande qu'à me faire pousser des ailes.
    Je ne supporte plus cette rancune
    Qui n'a jamais cessé d'être maligne.

    Délivre-moi de cette souffrance
    Et ramène-moi à mon enfance.
    Je ne veux pas qu'on me pleure
    Qu'on me regrette,

    Délivre-moi de ce mal-être
    J'ai souvent pensé à me jeter par la fenêtre.
    Je ne souhaite que disparaitre...

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  • Un soir d'été
    Après une mauvaise journée,
    Je m'en allais pleurer
    Pour me calmer.

    Un soir d'été
    Après la mort d'Alizée,
    Je m'en étais allé
    Pour fuir mes aînés.

    Aux lueurs du soir,
    Dans le lac j'ai pu apercevoir
    Mon coeur se vider
    De mes sales impurtées.

    Aux lueurs du soir
    Je ne pouvais pas savoir
    Que la mort m'attendait déjà
    À quelques centimètres de moi.

    Je plongeai dans cette eau
    Effaçant mon fléau
    Et bercée par la Paix
    Je m'endormais.

    Noyée dans cette eau
    Toujours je dors,
    Enterrée sous cet or
    Qui m'a permis le repos.

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  • Si tout avait marché,
    Comme je l'avais demandé,
    Je ne serais plus de ce monde,
    Je sais, je suis immonde.

    Si tout avait marché,
    Comme je l'avais demandé,
    Vous ne m'aimeriez pas,
    Et oui, c'est comme ça.

    Si tout avait marché,
    Comme je l'avais demandé,
    Insulte et dégoût seraient ma vie,
    Je vivrais dans le mépris.

    Mais rien n'a marché,
    Comme je l'ai demandé.
    Et sachez que seule la vie,
    Décide quand tout est fini.

    On pense pouvoir contrôler sa mort,
    Sans aucun remord.
    Mais c'est une erreur, je vous assure,
    Car la vie seule mesure la censure.

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  • Un suicide

    Le jour est arrivé. le soleil est tout noir.
    Les oiseaux sont tombés du haut de leur perchoir.
    La mal est dans nos têtes et l'enfer dans notre âme.
    Et pour tout oublier, j'enfonce cette lame

    Au plus profond de moi, tout au fond de mon coeur
    Pour cesser de vivre, pour stopper la douleur.
    Mes yeux pleurent le sang qui coule sur ma peau;
    Ils pleurent ce monde qui ne fut jamais beau.

    Et mes yeux se ferment, je ne peux plus bouger;
    J'entends autour des voix qui viennent me hurler
    Que je ne dois mourir. c'est trop tard, je m'en vais.

    J'ai tellement souffert, vous ne l'aviez compris
    Vous qui étiez heureux. Vous devez m'oublier,
    Abrutis que vous êt'. profitez de vos vies !


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  • ...

    J'ai voulu me suicider
    Cela faisait longtemps que j'y pensais
    Et j'ai enfin osé

    Cette vie j'ai voulu fuir
    M'enfuir pour ne jamais revenir
    M'enfuir pour ne plus jamais souffrir

    Pleurer j'ai trop fait
    Aucune autre solution je n'ai trouvé
    Que mes veines me couper

    J'avoue ne pas avoir pensé
    A ma famille que derrière moi je laissais
    A cette souffrance que je leur infligeais

    De cette lame j'ai décidé de m'emparer
    Et ces cachets j'ai avalé
    Pour ne plus jamais avoir à respirer

    Mes veines j'ai tailladées
    Les médoc j'ai ingérés
    En paix, mon esprit s'est évadé

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