• Le suicide est un droit pour tout le monde, c'est un choix, une libertée de penser,
    j'emmerde ceux qui dise que c'est mal, les gens qui comme moi on déjà pensé au
    suicide ont leur raisons ! Que tous les cons qui nous jugent crèvent dans les pires
    souffrance ! je poste ceci pour aidé les personnes qui veulent en finir avec leur vie

    Maintenant je vous fait part d'une manière d'appaiser votre âme facilement et sans
    effort, il vous faut : 

    1 voiture, 1 tuyau souple (genre aspirateur), quelques tissu (genre tee-shirts)

    mettre le tuyau souple sur la tétine de l'echapement de la voiture, relié le à la
    fenêtre du conducteur, mettez les tissus pour combler l'espace libre de la fenêtre
    de sorte qu'il fasse un protection hermétique plus ou moin
    mettez vous coté conducteur, démarrez le véhicule et dans moin de 10secondes
    vous serrez dans les pommes sans avoir suffoquer (même principe que le gaz pour dormir
    à l'hosto, lors de votre inconscience, votre corps va automatiquement respirer les gazs
    d'échapemment et la mort est quasi instannée

    aucun moyen de se louper

    "La mort est une journée qui mérite d'être vécue !" Capitaine Barbossa

    Chacun ses pensées, chacun ses choix. _Lithium666


    2 commentaires
  • Quαnd lα seule persσnne qui peut te rαttrαper est celle qui te fαit tσmber, tu ne peux que t'écrαser. Y α pαs que l'erreur qui blesse, il y α le mαl de l'αbsence qui reste


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  • Mon triste coeur saigne, âme en peine, tout le monde te rejette,
    parfois tu vas bein, tu ris, tu pleure, tu souris, maintenant
    les larmes coulent, tu n'est rein si ce n'est qu'un crétin qui
    pleure dans son coin...
    Que tu ai fait le bien ou le mal quoi qu'il en soit un jour
    tout le monde te rejettera sans te regretter, tu n'est rien
    où que tu soit, peut être un jour on te remercieras, d'être parti
    où d'être là, dans mon cas, je ne sais pas...
    Je fais tout ce que je peut, me donne coprs et âme, pour me sentir
    bien, aimer je le fais déjà, mais pour être aimer...
    tu ne sauras jamais ce que pense les autres, ta culpabilité te fais
    pleurer sans cesse et toujours plus fort,
    C'est ce sue je ressent à l'instant... Certains partent loin juste pour
    tout recommencer, tirer un trait sur le passé, moi je n'y arriverais pas
    et j'en ais pas envie, plutôt périr que d'endurer cette souffrance,
    je suis un lâche et je le sais pourquoi je ne sait pas...
    Ce qui est sur c'est que bientôt sera mon heure !


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  • On est toujours un peu seul, que s'a soit pour se reposer apres un boulot etc. ... moi je suis seul mais constament depuis ce matin, plus rien, tout le monde est partis, pourtant je n'ai rien fait. des moments, comme ceux que je vis actuelement je ne le souhaite à personne.


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  • Perdue dans les rues de cette immensse ville, je marche. Peu importe où me conduiront mes pas, de toute façon je n'ai plus aucun endroit où aller. Négliger par la seule personne qui me restait encore de famille et dont je faisais entierement confiance. Maintenant je me retrouve là, larmes coulant sur le long de mes joues pales traçant de fines trainées noir à cause du mascara. Mon coeur est lourd, des chaines de barbeles l'emprisonne et le transperce, je sais que plus jamais je pourrais m'en défaire, cette souffrance me suit comme un poids que je traine. Mourir serait mon seul recours désormais, mais une phrase me retient dans le monde des vivants et me plonge dans un mutisme sans fin. Cette phrase fut prononcée par un être chère à mes yeux, ma défunte mère : « La vie est bien trop précieuse pour être gacher par une mort futile comme le suicide.». Ce fut la dernière qu'elle m'est adressé, car après cela elle se jeta du haut d'un pont dans l'eau sombre et glaciale de la baie de Tokyô. Lors de ses funérailles, je découvrit avec amertume son acte suicidaire, malheureusement il était bien trop tard, le mal était fait. Je n'avais pas eu l'occasion de connaître mon père, mort d'une maladie à ma naissance, ma mère m'éleva seule comme elle put mais bien souvent l'argent manquait et nous devions sans cesse rembourser des dettes qui s'accumulaient. Ma mère luttait pour que notre vie fut plus douce et aisée mais moi pauvre ingrate je l'en remerciait même pas et chaque jour je la harcelait afin que mon ego soit satisfait, je refusais de vivre dans la bassesse jalouse de mes amies qui vivaient dans la fortune. J'appris bien plus tard que peu de temps avant sa mort, elle avit été renvoyée de son poste. Pensant bien faire et ne voyant plus quoi faire de mieux pour moi. Elle se tua. Que pensait-elle donc ? Que sa mort allait tout arrangée ? Mes journées furent les plus horribles. Je m'enfermait dans la noirceur de ma chambre écoutant la rage et la tristesse de mon coeur. Mes amies me quittèrent voyant mon caractère se dégrader, le lycée me refusa tout autre chance de poursuivre mes études. Je tombais dans les ténèbres sans pouvoir le fond. Lorsque un parent de ma mère me prit à ses côtés je reprit espoir mais ce fut de courte durée, j'eux tort de faire confiance à mon oncle. Et maintenant j'en paye le prix : à la rue sans argent ni personne pour m'héberger. Je m'enfonce dans les ruelles sombres, évitant les lumières éblouissantes de la ville et ces rires de joies qui m'affecte. Je veux oublier le goût du bonheur et me laisser aller dans le chemin des larmes, souffrir est un supplice bien trop doux pour moi mais je m'en contente, c'est désormais ma seule compagnie dans ce monde bien trop sale à mes yeux. Remplie d'ignominies, de profiteurs, d'égoistes et de secrets que les gens cherchent à cacher derrière leur masque invisible. J'ai gouter au ténèbres trop longtemps désormais je ne peut plus y réchapper. Je tourne dans une ruelle très étroite aux parois glacés. Je les caresse de mes doigts frêles, tremblant. Elles me rapellent mon côté sombre et glaciale. Je reste un moment, yeux fermés faisant le vide dans ma tête puis reprend ma route interminable, qui malgré moi, ne terminera jamais. Je débouche dans une autre rue, trop éclairée à mon goût. Lorsque mes yeux finissent par s'habituer à cette lumière assassine, je m'aperçoit que je suis en plein centre d'un quartier chinois. Les lanternes rouges éclairent cette mini-citée, les restaurants vident laissent échapper un fumet de nems et autres nourritures asiatiques, de la fumée blanche s'échappe des aérations et imprègnent mes vêtements d'une odeur de graillon répugnante. Ce que je ne comprend pas c'est pourquoi aucun clients ne se trouvent autour de buffets bien garnis ? Et où sont les cuisniers ? Nous ne sommes pourtant pas dans un jour férié. Il semblerait qu'il n'y ait plus personnes, comme si tout le monde s'était volatilisé, aucun bruit, seulement du réchaud ou de la bouilloir qui commence à s'impatienter et siffle. J'avance vers un bâtiment plus imposant que les autres d'une blancheur extrême et dont les fenêtres sont cadenassées, la porte d'entrée, quand à elle, semble inacsesible. Cette endroit me fait peur, il est effrayant, moi qui d'ordinaire aime cela, je me sens mal à l'aise et pas rassurer, je commence à trembler.

    Sakki Still.


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